Dans un communiqué rendu public, le ministère a relevé que des sites Web et des médias avaient récemment publié des déclarations de « certaines parties d’appartenance et de qualités différentes » (sans les mentionner), dont certaines « considérées comme dangereuses pour la sécurité et le maintien de l’ordre public, la protection des personnes, des institutions, des biens et l’application de la loi », affirmant sa volonté de sauvegarder les libertés dans le cadre de la neutralité totale.
Le Ministère de l’intérieur a fait remarquer que de « nombreuses déclarations de certaines parties incluaient des allégations malveillantes et des atteintes à la sécurité de l’Etat et des intérêts supérieurs du pays, ainsi qu’une violation flagrante de la législation en vigueur, en particulier des articles 54 et 55 sur la liberté de la presse, l’imprimerie et l’édition ainsi que des dispositions du code pénal sur la diffamation, les mensonges et l’attribution de comportement infondé à un agent public ».
Il a souligné que ces déclarations « étaient contraires aux dispositions (…) de la loi organique relative à la lutte contre le terrorisme et la prévention du blanchiment d’argent, qui prévoit une sanction pénale pour celui qui mettrait en danger la vie des personnes sous protection en divulguant intentionnellement des données qui les identifieraient ».
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