RESPECT DES DROITS DE L’HOMME : Un principe de base de la politique interne de l’Algérie

RESPECT DES DROITS DE L’HOMME : Un principe de base de la politique interne de l’Algérie - Algérie

Le ministre de la Communication, Porte parole du Gouvernement et ministre de la Culture par intérim, Hassane Rabehi, a affirmé, à Alger, que l’attachement de l’Algérie au respect et à la promotion des droits de l’Homme était « un principe de base de sa politique interne et de ses relations internationales ».

En effet, le ministre a indiqué dans une allocution à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’Homme organisée sous le slogan « Les jeunes défendent les droits de l’Homme » que  « L’attachement de l’Algérie au respect et à la promotion des droits de l’Homme est l’un des principes de base de sa politique interne et de ses relations internationales, et ce, partant des préceptes de notre noble religion qui a érigé l’Homme au rang de Successeur (d’Allah) sur terre, et de son engagement vis-à- vis des chartes qu’elle a ratifiées », Pour le ministre, cette journée internationale des droits de l’Homme est une bonne occasion pour saluer la teneur du discours d’investiture de M. Abdelmadjid Tebboune, président de la République, dans lequel il a mis en exergue le grand intérêt qu’il accorde aux droits de l’Homme en affirmant que « personne ne subira d’injustice en Algérie ». Estimant que « plus de 70 années après l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’Homme, beaucoup de travail reste à faire pour la communauté internationale en vue de hisser ces droits au niveau de la dignité des hommes là où ils se trouvent », le ministre a rappelé que « la célébration de cette journée en Algérie coïncide cette année avec un évènement national important, en l’occurrence la réussite de l’élection présidentielle du 12 décembre dernier ». »Le respect de l’un des aspects des droits de l’Homme s’est traduit lors de ce scrutin décisif à travers la préservation du droit du citoyen à s’exprimer librement, l’un des fondements du système des droits de l’Homme », a-t-il soutenu, ajoutant que « les expériences accumulées au fil du temps ont permis d’éviter toute atteinte à ces droits à travers la réunion de garanties légales supplémentaires et la mise en place, pour la première fois, de mécanismes indépendants, dont la mission a été la supervision de la régularité du scrutin dans ses différentes étapes ». Evoquant « les positions d’honorables personnalités nationales, pionnières en matière de développement du concept des droits de l’homme et de promotion de la culture de paix et de tolérance, même dans les moments les plus difficiles », M. Rabehi a précisé que « parmi les exemples les plus éloquents à citer et à méditer est l’initiative du symbole de la résistance nationale de l’Emir Abdelkader, au 19e siècle, de rédiger une charte pour la protection des droits des victimes et des prisonniers de guerre, devenant ainsi l’un des fondateurs du droit humanitaire international ».

A lire également

Lire également