Promouvoir la formation pour moderniser et améliorer les services de la solidarité nationale

Promouvoir la formation pour moderniser et améliorer les services de la solidarité nationale

ALGER – La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Ghania Eddalia a mis en avant, jeudi à Alger, l’importance de la formation dans la modernisation du secteur et l’amélioration du niveau des prestations assurées.

Lors d’une séance plénière consacrée aux questions orales à l’Assemblée populaire nationale (APN), Mme Eddalia a fait savoir que « les efforts visant la modernisation du secteur se poursuivent notamment en matière de formation de la ressource humaine », précisant que le ministère a bénéficié d’un programme pour la formation de 7.769 bénéficiaires.

Indiquant que son département ministériel attend la sortie, en début 2020, la sortie de 67 cadres du ministère formés qui devront contribuer à l’amélioration des performances de leurs collègues relevant du même secteur, la ministre a affirmé que ses services s’attelaient à l’élaboration de logiciels permettant la facilitation des procédures administratives dans le but d’une prise en charge optimale des différentes franges sociales placées sous la responsabilité du secteur.

A cette occasion, elle a rappelé les efforts du secteur tendant à moderniser les méthodes de la gestion administrative locale et centrale notamment en ce qui concerne l’actualisation des programmes sociaux et de formation pour être au diapason des nouveautés, mettant en exergue la coordination établie entre ses services et les autres secteurs dont le ministère de l’Intérieur.

Par ailleurs, la ministre a démenti la fermeture du « Centre pour insuffisants respiratoires (CIR), justifiant l’arrêt des travaux par la révision du plan institutionnel.

Pour rappel, la députée Akila Rabhi s’est abstenue de formuler sa question programmée auparavant, pour « soutenir le Hirak », a-t-elle indiqué.

A ce propos, la ministre a affirmé que « sa réponse à la député s’inscrit dans le cadre de son devoir constitutionnel, la contraignant à répondre aux préoccupation des représentants du peuple ».

Par ailleurs, la majorité des députés ont boycotté cette séance, exigeant la démission du président de l’APN, Mouad Boucharab.

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