GHAZA – Au moins 1,7 million de personnes ont été déplacées dans la bande de Ghaza et sont confrontées au risque d’une propagation importante de maladies infectieuses, a averti dans un récent communiqué le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA).
Selon l’OCHA, près de 80 % des habitants de Ghaza sont devenus des déplacés internes, avec environ 896.000 personnes déplacées résidant dans 99 installations dans le centre et le sud de la région.
Des augmentations notables de certaines maladies, telles que la diarrhée, les infections respiratoires aiguës, les inflammations cutanées et les problèmes d’hygiène comme l’infestation de poux, ont été enregistrées en raison de la surpopulation et des mauvaises conditions sanitaires dans les abris des Nations Unies, selon le communiqué.
En raison de l’espace limité dans les abris du sud, la plupart des hommes et des garçons plus âgés déplacés sont obligés de rester dehors, dans les cours d’école ou dans les rues, à côté des murs extérieurs des abris, ajoute le communiqué.
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