Les centres de recherche désormais habilités à commercialiser les prototypes de recherche scientifique

Les centres de recherche désormais habilités à commercialiser les prototypes de recherche scientifique

ALGER – Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Kamel Baddari, a indiqué, jeudi à Alger, que les efforts de son ministère en matière d’orientation des étudiants vers la réalisation de leur startups avait permis, durant l’année universitaire en cours, la soutenance de 350 mémoires de fin d’études « diplôme-startup » et de l’inscription de 1300 brevets d’invention.

Lors d’une séance plénière à l’assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, M. Baddari a mis en avant les efforts de son ministère en matière d’orientation des étudiants vers la réalisation de leur propres startups, rappelant, à ce propos, la soutenance de 350 mémoires de fin d’études « diplôme-startup » lors de l’année universitaire en cours, en sus de l’inscriptions de 1300 brevets d’invention.

Le ministre a également affirmé que les « centre de recherches sont désormais habilités à commercialiser les prototypes de recherche scientifique et ce, dans le cadre de « l’application de la stratégie du secteur visant à valoriser les résultats de la recherche scientifique au profit de l’économie nationale ».

Et d’ajouter que cette initiative s’inscrit dans le cadre de la concrétisation « des engagements du président de la République M. Abdelmadjid Tebboune visant le développement de la Recherche scientifique et technologique dans le but de satisfaire les besoins socio-économiques à travers la mise en place de solutions scientifiques et pratiques aux problèmes rencontrés dans les différents domaines, notamment ceux en lien avec la sécurité énergétique, sanitaire et hydrique ».

Evoquant, par ailleurs, l’enseignement en langue anglaise dans les établissements universitaires , M. Baddari a fait savoir que ses services « ont adopté une méthode scientifique pour la formation des formateurs en vue de leur permettre de maitriser l’écriture et l’analyse académiques en langue anglaise ».

Il a fait état, dans ce sens, de « 28.000 enseignants apprenant l’Anglais en présentiel et de 36.000 autres en distanciel via une plateforme numérique y consacrée ».

 

A lire également

Lire également