«La prise en charge est assurée entièrement par l’Etat», déclare le Dr Fourar, directeur de la prévention au ministère de la santé, qui assure, à ce propos, qu’ «il n’y a aucune discrimination à l’encontre des personnes malades».
Dans une déclaration à la radio Chaine 3, le Dr Fourar s’est félicité de l’exploit de l’Algérie qui a atteint l’objectif fixé par l’ONU-Sida consistant à assurer un traitement de qualité à tous les malades.
Au niveau de l’hôpital El Kettar de Bab El Oued, de nombreuses personnes atteintes de VIH sont prises en charge. Qu’ils soient de nationalités algériennes ou étrangères, ces malades sont soignés par les médecins et bénéficient d’un traitement gratuit.
Le Directeur général de l’hôpital, Aissam Eddine Bouyocef affirme, dans ce sillage, que «des migrants pris en charge à coup de centaines de millions de dollars» et «l’Algérie a toujours honoré ces engagements sur le plan humanitaire».
C’est le cas de Fatimata, un mauritanienne séropositives rencontrée sur place par le journaliste de la Chaine 3. Elle revient sur la prise en charge dont elle est bénéficiaire. «Ici, témoigne-t-elle la prise en charge est au top… vous avez des médecins qualifiés et une expertise de haut niveau grâce à quoi je me sens aujourd’hui beaucoup mieux».
Le VIH, cette maladie qui ne respecte pas les frontières et ne distingue pas entre ses victimes nécessite une solidarité mondiale active.
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