Hôpital Mustapha Bacha: de nouvelles mesures d’hygiène et d’organisation de la circulation

ALGER – La wali déléguée de la circonscription administrative de Sidi M’hamed, Fouzia Naama a fait état, jeudi à Alger, de nouvelles mesures prises pour l’amélioration de l’hygiène et l’organisation de la circulation des véhicules au niveau de l’établissement hospitalo-universitaire (EHU) Mustapha Bacha.

Participant à la cérémonie de célébration de la Journée nationale de l’immigration coïncidant avec le 17 octobre 1961, Mme Naama a indiqué que l’EHU Mustapha Bacha verra, dans les jours à venir, des opérations de nettoyage et d’organisation de la circulation des véhicules en application de l’instruction du Wali d’Alger, Abdelkhalek Sayouda.

Dans ce cadre, l’hôpital a connu une opération de nettoyage global avec la contribution des Etablissements de l’hygiène et de la réhabilitation urbaine de wilaya, « comme « première phase qui sera suivie par d’autres en vue de lui donner une image plus appropriée, a-t-elle ajouté.

Pour ce qui est du problème de la circulation des véhicules à l’intérieur de l’établissement, la responsable a fait état de la relance d’un plan d’organisation de l’entrée et de la sortie de véhicules, en coordination avec le directeur de l’EHU », afin de mettre un terme à ce problème.

A rappeler que le wali d’Alger avait critiqué, lors d’une réunion de coordination avec le ministre de la Santé et les responsables de différents établissements hospitaliers d’Alger, le phénomène affectant les différents établissements hospitaliers à Alger à savoir « le stationnement anarchique des véhicules dans l’enceinte même des hôpitaux ».

Le wali a supervisé, jeudi, en présence d’une délégation de moudjahidine et d’éléments des Scouts musulmans algériens (SMA), la commémoration du 58è anniversaire de la Journée de l’immigration coïncidant avec le 17 octobre 1961. Les intervenants lors de cette célébration ont mis l’accent sur l’importance de préservation de la mémoire des manifestations pacifiques des Algériens, réprimées dans le sang par la police française au bord de la Seine (Paris).

 

A lire également

Lire également