À l’horizon 2027, l’Algérie compte hisser le secteur industriel de façon à prendre une bonne place, soit 10 %, dans l’ensemble produit intérieur brut (PIB). Jusqu’au milieu de l’année en cours, ce secteur représente 4,1 % du PIB, ce qui est considéré comme une modeste contribution qui a bien ses causes, dont, entre autres, les désinvestissements de la fin des années 1990, faiblement compensés par l’embellie financière des quinze premières années du début du nouveau siècle.
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Le transfert de la recherche vers les entreprises économiques « un enjeu national crucial »