Violations sionistes à El Aqsa: appels à une position américaine et internationale « efficace »

Violations sionistes à El Aqsa: appels à une position américaine et internationale "efficace"

 

RAMALLAH (Palestine occupée) – La Palestine a appelé, dimanche, à une position américaine et internationale « efficace » pour forcer l’entité sioniste à cesser ses agressions et son ciblage de la ville d’El Qods et la mosquée Al-Aqsa.

C’est ce qui ressort de deux communiqués distincts de la Présidence palestinienne et du ministère palestinien des Affaires étrangères, après que la police sioniste a agressé, samedi soir, les fidèles de la mosquée Al-Aqsa.

La Présidence palestinienne a déclaré que le gouvernement sioniste tentait « d’entraîner la région dans la violence », la tenant « pleinement responsable de la dangereuse escalade qui se déroule contre le peuple palestinien, sa terre et ses lieux saints ».

Nabil Abu Rudeineh, porte-parole de la Présidence palestinienne, a appelé « les parties régionales et internationales (…) à faire pression sur l’autorité sioniste pour qu’il arrête cette escalade des attaques pendant le mois de Ramadhan par son armée et ses colons ».

De son côté, la diplomatie palestinienne a appelé à « une position américaine et internationale pratique et efficace pour contraindre l’entité Sioniste  (…) à cesser de cibler El Qods et ses lieux sacrés, surtout la mosquée Al-Aqsa, avant qu’il ne soit trop tard ».

Le ministère palestinien des Affaires étrangères a tenu l’autorité sioniste  « responsable de son agression continue contre Al-Aqsa et les fidèles » et a également condamné « les incursions continues à Al-Aqsa par des colons extrémistes ».

Dans ce contexte, le mouvement de résistance « Hamas » a déclaré que l’attaque contre la mosquée Al-Aqsa « est un crime contre la liberté de culte et un épisode d’une série continue d’agressions contre les fidèles et Al-Aqsa ».

« Le peuple défendra son droit de prier à la mosquée Al-Aqsa à tout moment et par tous les moyens », a ajouté le porte-parole du mouvement, Muhammad Hamadeh, dans un communiqué.

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