Sonatrach a signé aujourd’hui , mercredi , un accord de partenariat avec la Direction Générale des Forêts de Tipaza pour concrétiser le projet ambitieux Gabi, visant à créer des puits de carbone naturels certifiés sur une période de deux ans.
Ce projet s’inscrit dans le cadre des efforts de Sonatrach pour lutter contre les changements climatiques et environnementaux.
Abdelkrim Aouamer, directeur de la santé et de la sécurité de Sonatrach, a souligné que le projet consiste à planter de vastes superficies d’arbres pour atténuer les effets des changements climatiques et protéger l’environnement.
« Nous travaillons avec détermination pour renforcer les partenariats stratégiques qui contribuent à la réalisation de nos objectifs communs, car les défis climatiques nous obligent à proposer des solutions efficaces pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et protéger l’environnement. Le projet sera réalisé sur deux ans. »
De son côté, le président-directeur général de Sonatrach, Rachid Hachichi, a indiqué, lors de la signature de l’accord de partenariat avec la Direction Générale des Forêts, que l’entreprise est fermement engagée dans le cadre de sa nouvelle stratégie climatique, adoptant une « approche responsable » pour contribuer au développement durable du pays.
Il a ajouté que cet accord vise à créer des puits de carbone naturels certifiés, soulignant que cela « reflète notre engagement ferme à atteindre un développement durable. »
Il a également précisé : « Nous visons, d’ici 2030, à réduire presque à zéro la combustion de gaz et les émissions de méthane. La nouvelle stratégie climatique de Sonatrach repose sur trois piliers essentiels : l’investissement, le renforcement des capacités et le transfert de technologies. »
L’objectif de la stratégie est également de « travailler à améliorer l’efficacité énergétique des installations et à développer des puits de carbone naturels à travers un ambitieux programme de reboisement.
Stratégie climat de Sonatrach : signature d’un protocole d’accord avec la DGF pour créer des « puits de carbone » naturels