La mouture de la révision de la constitution soumise à débat prévoit la possibilité pour le président de la République de nommer un vice-président, une nouveauté dans le système de gouvernance en Algérie. Pour certains hommes politiques et experts, ce poste n’a aucun intérêt et peut même constituer un danger.
C’est du moins l’avis d’Abdelaziz Ziari, ancien président de l’assemblée nationale populaire (APN).
« Je ne vois pas du tout la nécessité d’alourdir l’exécutif par un vice-président », a indiqué Ziari, (…)
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