PARADIS PLAGE (AIN TURCK) : 63 habitations inondées  par une mer agitée - Algérie

PARADIS PLAGE (AIN TURCK) : 63 habitations inondées par une mer agitée

Les occupants de bâtisses inondées par l’eau de mer ont alerté les autorités pour les prendre en charge. En effet, les fortes vagues de la mer très agitée qui ont causé des dégâts matériels et des détériorations aux  portes et fenêtres des habitations vétustes érigées au niveau de la plage de Paradis plage dans la commune de Ain Turck, ont failli noyer les 63 familles qui occupaient des constructions illicites au bord des plages de Paradis plage, n’était-ce l’intervention des pompiers et des citoyens civils volontaires qui sont arrivés à sauver ces centaines de vies humaines notamment, des enfants à bas qui ont été coincés et envahis par les fortes vagues de la mer très agitée.  C’est durant toute la nuit du  dimanche soir, que les familles occupant ces habitations ont vite réagi pour courir et sauver leurs  enfants, en sortant dans les ruelles de la côte de Paradis plage, où elles ont trouvé aide et assistance de la part des pompiers et voisins qui les ont secourus et éloigner du danger des vagues de la mer agitée qui ont envahi leurs habitations implantées au bord de la plage de Paradis Plage. Heureusement qu’aucune victime n’est à déplorer dans ces inondations. Les résidents de ces habitations selon les informations qui nous sont parvenues ont été recasés provisoirement chez des voisins qui les ont pris en charge, en attendant les pouvoirs publics pour les transférer avec leurs enfants dans des centres de vacances provisoirement en attendant leur relogement, vu qu’ils se trouvent, à la rue actuellement avec leurs enfants scolarisés qui ne vont pas partir à l’école ,dépourvus d’affaires scolaires noyées par les vagues, ainsi que leurs habitations ravagées par la mer.   Une vidéo diffusée et lancée sur les réseaux sociaux, nous indique les effondrements de ces bâtisses, avec des dégradations des fenêtres et des portes d’entrée. Il est temps que les pouvoirs publics prennent conscience de ces 63 familles qui occupaient avec leurs enfants ces habitations illicites depuis plusieurs années, pour les prendre en charge durant cette période hivernale et glaciale.                  

A lire également

Lire également