Nécessité d’approfondir les études et les recherches sur la dimension arabe de la révolution algérienne

Nécessité d’approfondir les études et les recherches sur la dimension arabe de la révolution algérienne

ORAN- Le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga a insisté, lundi à Oran, sur la nécessité d’approfondir les études et les recherches sur la dimension arabe de la révolution algérienne.

Dans son discours de clôture des travaux du colloque international sur la dimension arabe de la révolution algérienne, intitulé « L’Algérie dans le Monde arabe, profondeur de l’histoire, enjeux du présent et perspectives d’avenir », le ministre a appelé les professeurs et chercheurs du pays et de l’étranger à « approfondir les études et les recherches sur le sujet de la dimension arabe de la révolution algérienne et tout ce qui touche à notre mémoire commune d’une manière qui renforce la cohésion arabe et pousse à une action arabe commune face aux différents défis que confrontent notre patrimoine culturel et nos valeurs ».

M.Rebiga a insisté sur l’importance d »‘activer cette démarche et de la concrétiser davantage lors des prochains rendez-vous scientifiques dans lesquels les problématiques et autres aspects qui n’ont pas été abordés dans les axes de ce colloque seront traités, et d’approfondir les visions et perceptions futures de manière à servir l’intérêt arabe, à renforcer les liens fraternels et la solidarité arabe face aux défis actuels ».

Il a déclaré que « la révolution bénie de novembre, avec ses principes humanitaires, a été une référence dans la défense des valeurs de nombreux pays et peuples aspirant à la liberté et un exemple de prise de conscience, de fermeté, de défi et de sacrifice pour recouvrer les droits et affirmer l’existence sur la base de la force de la foi et de la fermeté des positions ».

Ce colloque a été organisé par le ministère des Moudjahidine et des Ayants droit à l’occasion de la célébration du soixantième anniversaire de l’indépendance du pays et du 68e anniversaire du déclenchement de la glorieuse guerre de libération.

La rencontre a vu la participation de chercheurs de différentes universités algériennes et d’Egypte, de Tunisie, de Palestine, d’Arabie Saoudite et d’Irak.

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