Décidément la crise du logement est toujours d’actualité et préoccupe toutes les catégories sociales les plus précaires qui ne peuvent se permettre jouir de ce confort tant rêvé et convoité, engendrant un problème et une préoccupation permanente pour les pauvres sans ressources qui crient au secours, hélas ils ne sont jamais entendus.
En effet, il y a des moments où le destin est tellement cruel, que l’être humain ne peut hélas rester insensible aux cris, douleurs et pleurs d’une mère désespérée qui demande un abri pour ses trois enfants. Avec les larmes aux yeux, Madame Righi Fatima, une employée de la mairie de Mostaganem, s’est présentée au siège du journal réflexion, accompagnée de son fils aîné, munie d’un reçu d’un dossier de logement social, déposé en 2011 pour lancer un SOS aux autorités compétentes et particulièrement au premier responsable de la wilaya. Condamnée à une vie des plus humiliantes et déplorables, madame Righi Fatima, veuve et mère de trois 03 enfants, âgés respectivement de 06, 02 et 01 ans se trouve dans une situation, des plus dramatiques pour ne pas dire désastreuse et ce depuis le décès de son mari. Ne pouvant garder pour elle seule sa souffrance et ne sachant plus vers qui se tourner, la malheureuse sollicite l’intervention de Monsieur le Wali, premier magistrat de la wilaya de Mostaganem pour lui éviter l’expulsion d’une chambre dépourvue de toutes les commodités qu’elle occupe, elle et ses enfants depuis 3 ans à la cité Djebli Mohamed, ‘’ex-Montplaisir’’. En détresse, n’ayant nulle part où aller, en cet hiver glacial, elle a peur de se retrouver à la rue avec ses enfants. En voyant cette misérable dame, s’abriter dans cet habitat insalubre et précaire, on ne peut que se joindre à ses appels de détresse, vu les conditions de vie indignes auxquelles, elle est exposée. Nous compatissons sincèrement à sa douleur. Se sentant très vulnérable pour affronter le froid et dans l’attente d’une solution, Mme Righi Fatima, cette innocente mère et ses enfants, font appel, par le biais de la presse, aux autorités, demandant ainsi de l’aide à Mr le wali pour qu’elle soit relogée le plus vite possible afin de la délivrer du cauchemar dans lequel elle vit avec toute sa petite famille innocente.
Le wali de Mostaganem organise une cérémonie d’échange de vœux de l’Aid