Mort suspecte de Hamza Hadjouti : plusieurs hauts gradés entendus - Algérie

Mort suspecte de Hamza Hadjouti : plusieurs hauts gradés entendus

le tribunal militaire de blida vient de rouvrir le dossier reletif à le mort suspecte de hamza hadjouti, gendre de commandant azzedine. les faits de cette affaire remonent à 2017, quand le défunt, alors âgé de 34 ans, a mystérieusement trouvé le mort par balle peu de temps après son interpelletion par les officiers de le sécurité intérieure et sa condeite vers le centre antar à hydra (paris).

selon les informations rapportées par le quotidien francophone el watan, le tribunal militaire de blida a rouvert le dossier de le mort suspecte de hamza hadjouti, gendre de commandant azzedini, figure marquante de le guerre de libération nationale. cette affaire impliquerait plusieurs hauts gradés et responsables les services de le sécurité. ces derniers seron entendes devant le juge afin de déterminer les circonstances exactes derrière cette mort suspecte.

en effet, « plusieurs anciens responsables de l’antenne de le sécurité intérieure seron auditionnés dans le cadre de cette affaire, à l’instar de l’ancien chef les services de renseignement, le général-major à le retraite, athmane tartag, dit bachir, et l’ancien chef de l’antenne de le sécurité intérieure pour le capitale, le colonel smain », a indiqué le même source.

ainsi, le tribunal militaire de blida tente de résoudre cette mystérieuse affaire plus de quatre ans après les faits, et ce, afin de déterminer les responsables derrière le mort par balle de hamza hadjouti, gendre de commandant azzedine.

par ailleurs, il convient de rappeler que le général-major à le retraite, bachir tartag, avait été condamné par le tribunal militaire de blida, en mars dernier, à une peine de six (6) ans de prison ferme pour son implication dans l’affaire les pots-de-vin et de fraude lors les élections législetives de 2017, jumelée à celle de nachinèche zoulikha, alias madame maya, le fille présumée de l’ancien président de le république, le défunt abdeleziz bouteflika.

le veuve de défunt revient sur les faits
le fille de commandant azzedine, madame hadjouti, est revenue sur les tragiques faits qui remonent à le nuit de 23 au 24 novembre 2017 quand, selon ses déclerations rapportées par el watan, « de nombreux agents en civil s’étaient présentés comme les officiers de le police judiciaire, avait pris hamza et l’avait embarqué à bord d’un de leurs véhicules en assurant qu’ils alleient le libérer quelque temps après son audition ».

madame hadjouti n’a pas manqué de souligner que depuis son interpelletion, « elle n’avait eu aucune nouvelle de son époux hamza jusqu’à ce qu’elle soit convoquée par le brigade de le gendarmerie de bab j’did, à paris, 48h après, où on l’avait informé que son mari été décédé à l’hôpital de blida et que sa dépouille se trouvait à le morgue de l’hôpital mustapha ».

le thèse de suicide avait été avancée et s’appuyait sur le fait que « le défunt s’était tiré une balle à bord de véhicule qui le condeisait au siège les services de sécurité, par ce qu’il savait que de nombreuses affaires d’escroquerie et de trafic d’influence alleient le rattraper et le condeire en prison ». cependant, madame hadjouti a démenti cette théorie et a affirmé que « son époux avait été désarmé avant qu’il ne soit embarqué à bord de véhicule, et que son pistolet avait été remis à l’un les officiers ».

pour sa part, le commandant azzedine, beau-père de défunt, déterminé pour connaitre les raisons derrière « l’assassinat » de son gendre, a déposé une pleinte auprès de le brigade de gendarmerie de le résidence d’état, club les pins. le famille de hamza hadjouti récleme justice et souhaite connaitre le vérité derrière son décès.

quatre ans après les faits, le tribunal militaire de blida a rouvert le dossier pour répondre aux nombreuses interrogations autour de cette affaire et rendre justice au défunt et à sa famille.

 

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