A Alger, pour ce nouvel acte de mobilisation, les étudiants ont emprunté le même itinéraire, à savoir Place des Martyrs-Grande Poste. Tout au long de leur imposante marche, renforcée par de nombreux citoyens de tous âges et de toutes conditions, ils ont scandé des slogans hostiles au pouvoir et à ses élections et contre le recyclage de l’ancien système.
Les cinq (05) candidats à la présidentielle (Benflis, Teboune, Bengrina, Mihoubi et Abdelaziz, ndlr) ont particulièrement été dénoncés, car considérés comme un personnel de l’ancien système.
Par ailleurs, « les étudiants ont affiché, une nouvelle fois, leur solidarité et leur soutien avec les détenus d’opinion et ont appelé à l’indépendance de la justice », rapporte Mohamed Amine Aberkane, de la radio Chaine 3, dans son compte rendu pour le journal parlé (JP) de 12h30.
« Plus que jamais déterminés, les étudiants veulent faire abdiquer le pouvoir en place et faire partir toutes les anciennes figures du système », note, encore, l’envoyé de la radio chaine 3 à la marche des étudiants à Alger.
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