LES HABITANTS DE LA CITE EL-MERDJA PERSISTENT ET SIGNENT : Le terrain d’une mosquée convoité par un investisseur à Tissemsilt

Le citoyen de la ville de Tissemsilt a sans conteste remarqué que depuis un peu plus de deux ans, certains espaces du milieu urbain sont convoités par des indus individus sous couvert d’une promotion qui ne cherche que le foncier et les prêts bancaires et avec la complicité de certains responsables malhonnêtes, on assiste à un vrai bradage des poches urbanisables et non urbanisables pour des projets douteux.

Le conflit entre les citoyens habitants la cité El-Merdja dans la partie nord-ouest de la ville de Tissemsilt et un promoteur n’est qu’un simple exemple qui risque d’aller même devant la justice, aujourd’hui, ce conflit s’enlise davantage à cause du détournement de la vocation de la parcelle de terre programmée depuis plus de dix ans pour abriter le projet d’une mosquée à un projet de promotion au profit d’une personne qui demeure inconnue, tout autant que son projet qui on ne sait par quel miracle, a eu « la bénédiction » des responsables et de l’autorité locale. Ces plaignants dénoncent une soit disant attribution d’un projet sur une superficie que les citoyens disent qu’elle est bien de l’Etat , programmée dans le plan d’occupation du sol POS pour abriter une mosquée pour les habitants d’El-Merdja et que ce mis en cause devait respecter la loi. Les plaignants qui se sont adressés à toutes les parties concernées affirment que cette personne s’est appropriée une parcelle de terrain déjà attribuée et profitant, ajoutent-ils d’une certaine complaisance sans prendre en compte, l’appel des riverains qui l’avaient préalablement averti sur le désagrément qu’il leur avait causé en détournant ce terrain stratégiquement situé tout au long de la déviation de la RN 14 qui donne à la cité Dallas et à la cité El Merdja , où ils se sont vus obligés de recourir au bras de fer pour préserver cet espace commun. Les concernés précisent qu’ils avaient sollicité toutes les parties concernées et apparemment aucune solution n’est envisageable pour l’immédiat pour arrêter ce squat de l’espace public et punir les responsables, alors que l’attente s’intensifie chez les plaignants où la tension était perceptible. Coté officiel, une source responsable nous a confirmé qu’aucune partie responsable ne lui avait délivré un quelconque permis de construction ou autre autorisation, un avis favorable lui a été donné dans le cadre de la promotion de l’investissement et sous l’ère d’un ancien responsable connu par le bradage des terrains et qui est de nos jours impliqué devant la justice dans des affaires scabreuses.  Sur place, nous avons pu remarquer que le terrain est quadrillé par une clôture métallique. Enfin, les citoyens affirment que malgré les sollicitations des responsables, aucune partie ne s’est engagée pour prendre la moindre décision à l’encontre de ce squatteur, ils savent que ce n’est qu’une bataille d’une guerre et que si d’ici là, aucune décision ne sera prise, ils comptent saisir les hautes autorités du pays ainsi que la justice et ce n’est que partie remise concluent-ils. En somme, le citoyen a le droit de s’interroger sur la justification des assiettes consistantes qui ont été imputées du foncier communal ? Où se situe le rôle des élus qu’ils soient de l’APC ou de l’APW ? Le sujet du jour est certainement l’exemple concret de la gestion catastrophique de certains responsables aujourd’hui prétendants avoir travaillé pour l’intérêt général…

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