Les autorités supérieures du pays œuvrent à impliquer les jeunes dans les grandes mutations en Algérie

Les autorités supérieures du pays œuvrent à impliquer les jeunes dans les grandes mutations en Algérie

SETIF – Le président du Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ), Mustapha Hidaoui, a affirmé mardi à Sétif que les autorités supérieures du pays œuvrent aujourd’hui à impliquer la jeunesse dans la dynamique et les grandes mutations  que vit l’Algérie.

Intervenant lors d’une conférence sur le thème « Les massacres du 8 mai 1945, les jeunes refusent l’oubli » tenue à la Maison de la culture Houari Boumediene à l’initiative du CSJ, M. Hidaoui a estimé que « les jeunes vivent dans l’Algérie d’aujourd’hui une nouvelle dimension après l’intérêt porté à cette large frange qui représente 70% de la société ».

Il a estimé que les jeunes « doivent réagir positivement aux messages qui leur sont envoyés par les autorités supérieures du pays », relevant que « des indices palpables montrent que les jeunes d’Algérie sont devenus effectivement présents sur la scène nationale ».

Le président du CSJ a invité les jeunes à être « plus organisés et plus conscients des rôles majeurs qu’ils ont à assumer », considérant que les jeunes « sont imbibés de valeurs et jouissent d’énormes potentialités qui en font une force fondamentale pour atteindre les ambitions vers lesquelles se dirige l’Algérie d’aujourd’hui ».

M. Hidaoui a ajouté que le CSJ est présent dans les différentes occasions pour « consacrer les nouvelles orientations qui consolident la participation des jeunes dans la vie publique de sorte à être des acteurs influents sur la scène nationale ».

Pour Mustapha Hidaoui, la commémoration du 8 mai 1945 « rappelle aux générations le sacrifice, l’abnégation et les potentialités des jeunes qui ont cru fermement en la possibilité d’opérer le changement ».

Le président du CSJ a estimé que le défi de demain sera plus grand que celui d’aujourd’hui et les jeunes doivent conjuguer leurs efforts pour préserver la mémoire avec la contribution de tous les acteurs.

La rencontre, tenue en présence du président de l’Observatoire national de la société civile, Nourredine Benbraham, de l’historien Mohamed Lahcène Zeghidi, des autorités locales et d’un grand nombre de jeunes, aborde le dossier de la mémoire et sa préservation loin de toute forme de distorsion ou d’altération.

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