Le rôle de la Sûreté nationale dans la protection des droits de l’Homme, thème d’un atelier de formation au profit des cadres de la Police

Le rôle de la Sûreté nationale dans la protection des droits de l'Homme, thème d'un atelier de formation au profit des cadres de la Police

ALGER – Le président du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), Abdelmadjid Zaalani, a présidé lundi à Alger, le lancement d’un atelier de formation au profit de cadres de différents corps de Police, sur « les notions fondamentales des droits de l’Homme et le rôle des agents de la Sûreté nationale dans leur protection et leur renforcement », a indiqué un communiqué du conseil.

Cet atelier de deux jours s’inscrit dans le cadre de l’accomplissement des missions constitutionnelles du Conseil national des droits de l’Homme, notamment celles relatives à la diffusion de la culture des droits de l’Homme, et ce en collaboration avec des experts internationaux auprès de l’Organisation mondiale de la réforme pénale (Bureau MENA).

Ledit atelier prévoit plusieurs axes, dont principalement « la relation des organes chargés de l’application de la loi et de la Police judiciaire avec les droits de l’Homme », « le rôle de ces organes dans la protection et la promotion de ces droits » et « les domaines des droits de l’Homme et l’action policière ».

Il portera également sur « l’assistance juridique: notion et contexte ainsi que son importance en matière de protection des droits de l’Homme », « le code de conduite pour les responsables des organes chargés de l’application de la loi » et bien d’autres notions porteuses de valeurs dans le domaine des droits de l’Homme tels que « le genre social, la justice pour mineurs et les moyens d’assister les plaignants à recouvrer leurs droits, les différents dispositifs de coordination à même de concrétiser les droits de l’homme tels que prévus dans les chartes et lois ».

L’atelier se poursuivra avec la participation de la société civile, avec la tenue, ultérieurement, d’une réunion élargie aux différents acteurs concernés, « car constituant l’une des méthodes les plus appropriées à même de servir les questions des droits de l’homme dans notre pays ».(APS)

A lire également

Lire également