ALGER- Le ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit, Laïd Rebiga, a souligné l’importance de la numérisation dans l’écriture de l’histoire nationale pour sa diffusion auprès des générations futures.
« Les progrès technologiques nous imposent d’améliorer notre traitement de l’histoire pour assurer son écriture et sa transmission en mettant à profit les technologies modernes à travers la numérisation et la modernisation du secteur », a fait savoir M. Rebiga dans un entretien accordé à la chaîne Eddakira de la Télévision nationale, à l’occasion de la célébration du 69e anniversaire du déclenchement de la glorieuse Révolution de libération.
M. Rebiga a souligné l’importance de l’écriture de l’histoire nationale en tant que « levier important pour la construction de la personnalité et de l’identité nationales », rappelant, à ce propos, les dispositions constitutionnelles relatives à la protection des symboles et à la promotion de l’écriture et de l’enseignement de l’histoire aux générations futures.
Le ministre a exprimé, en outre, sa conviction que les instructions du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, « ont grandement encouragé à intensifier les efforts du secteur dans le domaine de l’écriture de l’histoire nationale et à soutenir toutes les contributions sérieuses à l’écriture de l’histoire avec une vision purement nationale à même de renforcer le système des valeurs nationales ».
Il a rappelé, dans ce sens, que l’Algérie « a accordé un intérêt particulier à l’écriture de l’histoire depuis le recouvrement de la souveraineté nationale », soulignant que les institutions de l’Etat « ont redoublé d’efforts ces dernières années pour élaborer une vision globale concernant la préservation de la Mémoire nationale et la diffusion de la culture de l’histoire auprès des générations futures ».
Concernant les moyens permettant de préserver la Mémoire nationale, le ministre des Moudjahidine a fait remarquer que l’écriture des mémoires et l’enregistrement des témoignages vivants avaient connu « un bond qualitatif », grâce à « une exploitation optimale après étude, classification et numérisation ».
Par ailleurs, M. Rebiga a réitéré l’attachement de son secteur à « prendre en charge tous les problèmes sanitaires et sociaux des moudjahidine et des ayants-droit, conformément aux mécanismes juridiques en place et en concrétisation des engagements du président de la République envers cette catégorie ».
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