Le Conseil de la nation prend part à Saint Petersburg à la 10e conférence internationale sur l’écologie

ALGER – Le Conseil de la nation participe à la 10e conférence internationale sur l’écologie, dont les travaux ont débuté ce jeudi à Saint Petersburg (Russie), indique un communiqué du Conseil.

Le Conseil de la nation est représenté, à cette rencontre de deux jours, par le président de la Commission de l’agriculture et du développement rural au Conseil de la nation, Abdelmadjid Mokhtar, et les sénateurs Abdelhak Benboulaid et Hadj Abdelkader Grinik.

Pour rappel, cette conférence est organisée par le ministère des Ressources naturelles et de l’Environnement de la Fédération de Russie et se tient régulièrement depuis 2008.

Cette rencontre constitue « une tribune internationale de dialogue autour des questions importantes qui impactent l’environnement », et d’échange pour les parlementaires pour « renforcer la coopération sur les moyens permettant de garantir une sécurité environnementale ».

Lors des débats ayant marqué la 10e conférence internationale sur l’écologie, le président de la Commission de l’agriculture et du développement rural a affirmé que « la protection de l’environnement et la lutte contre les changements climatiques en Algérie étaient une priorité absolue, en raison de leur lien avec la sécurité alimentaire, une des constantes de la souveraineté nationale ».

Il a ajouté que « l’Etat algérien a ainsi mis en place tous les moyens matériels et humains, accompagné en cela par les deux chambres du Parlement à travers la mise en place du cadre législatif adéquat, pour renforcer cette orientation nationale à laquelle le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune accorde un intérêt particulier ». « Cette démarche, a-t-il dit, s’est concrétisée à travers le Plan national Climat (PNC) qui englobe 155 projets, dont 76 concernent la réduction des gaz à effet de serre (GES), 63 autres dédiés à l’adaptation aux effets négatifs du changement climatique, et 16 autres projets ayant trait au renforcement de la gestion du climat », conclut la même source.

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