L’ex-ministre de l’Industrie, Hachemi Djaaboub, a révélé plusieurs vérités importantes concernant l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal:
» Boualem Sansal, le pantin du révisionnisme anti-algérien «
« Lorsque j’ai été nommé ministre de l’Industrie en 2002, j’ai trouvé son nom sur la liste des cadres supérieurs du ministère, avec le titre de directeur général de l’industrie. J’ai commencé à recevoir les cadres successivement pour faire leur connaissance, écouter leurs préoccupations, les rassurer et les encourager à poursuivre leurs tâches. Chaque fois que je demandais à convoquer Boualem Sansal, ma secrétaire me répondait qu’il était absent…
Quelques jours plus tard, j’ai demandé au secrétaire général où se trouvait le directeur général de l’industrie. Il a été surpris par ma question, comme si j’avais touché un sujet délicat, et ses yeux se sont écarquillés, il a perdu sa voix comme s’il avait avalé sa langue. J’ai reposé la question, et il m’a regardé avec étonnement, comme si je venais d’une autre époque et d’un autre endroit, puis il a répondu en balbutiant : « C’est l’écrivain (célèbre) Boualem Sansal. »
Je lui ai répondu sèchement : « Je sais que Boualem Sansal est l’auteur du livre Le Serment des barbares, mais je vous ai demandé où il est, pas quel est son nom. »
Il a rapidement répondu d’une voix basse : « Je ne sais pas, mais il est probablement à l’étranger comme d’habitude. »
« Vous n’êtes pas sûr de ce que vous dites, vous êtes le secrétaire général du ministère ! Qui l’a envoyé à l’étranger alors ? » ai-je demandé.
« Je ne sais pas », m’a-t-il répondu, « il part toujours en voyage à l’étranger, et personne ne lui demande où il va ni pour quelle mission. On entend simplement dire qu’il accomplirait ces missions sur ordre des autorités supérieures selon ses dires. »
« Et pourquoi bénéficie-t-il de ce traitement privilégié ? » ai-je demandé, étonné et indigné.
« Je ne sais pas, mais c’est ainsi qu’il est traité ici au ministère. Il vient quand il veut, part quand il veut, s’absente quand il veut, et voyage à l’étranger quand il le veut, et revient quand il veut. C’est l’écrivain (célèbre) Boualem Sansal », a-t-il dit en levant les deux mains comme pour une prière funéraire, espérant que je comprenne et accepte la situation, m’en tenant à mes limites dans mes relations avec ce « grand Sansal » et évitant de lui poser des questions embarrassantes auxquelles il n’aurait pas de réponses.
Plus d’une semaine après, j’ai appris que le fils gâté, Sansal, était de retour. Je l’ai convoqué et lui ai demandé pourquoi il avait été absent. Il m’a répondu qu’il était en mission officielle à l’étranger. Je lui ai alors demandé, surpris : « Tu t’absentes du travail et tu pars à l’étranger pour des missions officielles, sans en informer le secrétaire général ni le ministre ? »
Il s’est redressé – et je lui avais interdit de s’asseoir – a haussé ses épaules maigres et a dit : « Ce sont des missions qui dépassent le niveau du ministre. »
Je me suis souvenu alors du conseil de mon père, que Dieu ait son âme, quand il m’a visité un jour en 1987 dans mon bureau à l’hôpital de Birmandreis : « Sache, mon fils, que celui qui te met en colère dans ta position de responsable sera celui qui te fera tomber. »
Je suis resté calme, l’ai regardé longuement puis je l’ai congédié d’un geste de la main, plus éloquant que mille mots. Quelques jours après, j’ai mis fin à ses fonctions comme indiqué dans la publication ci-dessous…
Boualem Sansal se décrit dans son livre La Rue Darwin et dans ses nombreuses interviews avec la presse française comme étant originaire de la ville de (S), wilaya de Tissemsilt, mais je préfère ne pas mentionner son nom par respect pour ses habitants, car il leur a fait beaucoup de tort, et je ne souhaite pas transmettre cette insulte indécente.
Il se vante d’avoir été élevé dans cette ville sous la garde de sa grand-mère maternelle, une femme très riche qui possédait de nombreuses propriétés, y compris des villas, des immeubles et des magasins dans sa région d’origine, le Rif marocain, et à Clichy en France. Il prétend aussi qu’elle gérait un commerce lucratif, que je préfère ne pas mentionner par respect pour les lecteurs et les habitants de sa ville natale.
Après la mort de son père dans un accident de voiture dû à l’usage de drogue – comme il le dit lui-même – sa mère se tourna vers un rabbin de la synagogue située rue Darwin à Belcourt, à Alger, qui les accueillit, lui et ses enfants, dans une chambre. C’est là que Boualem Sansal grandit et fut éduqué sous l’œil attentif du rabbin, qui s’occupa de lui.
Quand un journaliste l’a interrogé dans l’émission On n’est pas couché sur France 2, lui demandant s’il était musulman, il répondit rapidement, comme s’il se défendait d’une accusation grave : « Non, je ne suis pas musulman, je suis apostat, je suis athée, et jamais ma famille ni moi n’avons été musulmans. Nous sommes francisés, tant sur le plan linguistique que culturel. »
Après l’échec de toutes les tentatives de ses amis et de leurs pressions pour le maintenir en poste malgré ma position ferme, j’ai mis fin à ses fonctions au ministère de l’Industrie. Il a quitté le pays pour se réfugier auprès de sa mère en France, où il a trouvé soin, soutien matériel et financier, puis la nationalité française qu’il prétend avoir « récupérée », car il se considère comme un « Français d’Algérie », affirmant que l’indépendance de l’Algérie en 1962, par la faute du FLN et de l’ALN, l’a privé de sa nationalité…
Beaucoup de gens pourraient penser que ce discours est une atteinte à sa personne, mais soyez rassurés, ce que j’écris est directement inspiré de ses propres propos et ne lui pose aucun problème, ni à lui ni à d’autres comme lui qui se sont toujours opposés aux principes nationaux. Je n’ai pas parlé de lui en tant qu’individu, mais en tant que cadre supérieur de l’État, et écrivain dont les attaques contre l’Algérie et ses valeurs sont multiples, et dont la trahison en faveur de la France, du Maroc et d’Israël est évidente.
Je précise que j’ai passé plus de quinze heures à visionner et revoir des vidéos de ses interviews avec la presse française. J’y ai découvert l’ampleur de ses mensonges, de sa dépravation, de ses trahisons, et du rôle qu’il a joué pour ternir l’image de l’Algérie »
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