L’Algérie et l’après-Salamé

L’Algérie et l’après-Salamé - Algérie

Ghassan Salamé, l’envoyé spécial de l’ONU en Libye, a jeté l’éponge. Essoré depuis 2017 par d’éprouvants efforts qui se heurtaient à une implacable réalité faite de guerre et de sang, le médiateur onusien a préféré claquer la porte.

Sa démission sonne comme un aveu d’impuissance. Les motifs qu’il a invoqués pour la justifier ne sont que des excuses édulcorées de quelqu’un qui s’est pourtant engagé, une semaine auparavant, à concilier les Libyens à Genève. Cela d’autant que son départ intervient à un moment où (…)


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