« L’écosystème d’entreprenariat et d’innovation en Algérie contient des start-up, incubateurs et projets innovants qui sont encadrés et régis par des textes de loi, bénéficiant notamment de mesures fiscales incitatives, contrairement à d’autres composantes de cet écosystème qui ne jouissent d’aucune mesure à l’image des freelance, des Fablab, des grandes entreprises qui font de l’innovation, et des lieux où l’on peut produire des prototypes innovants », a précisé Noureddine Ouadah, en marge d’une conférence de presse consacrée au 1er Salon des technologies de l’information et de la communication « ICT Maghreb » tenue à Alger.
Ouadah, qui est directeur des start-up et des structures d’accompagnement auprès du ministère, a fait savoir qu' »une réflexion en vue d’améliorer et enrichir les textes de loi régissant cet aspect est en cours, afin d’y intégrer ces composantes ».
« Nous sommes conscients de l’existence de cet écosystème (freelance et Fablab, entre autres) et sommes en train de réfléchir à trouver les moyens de les encourager davantage », a-t-il dit, ajoutant que « l’idée est d’élargir la cartographie des acteurs de l’innovation et, par la même, être plus inclusif ».
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