L’historienne Karima Dirèche considère que «la réappropriation (par les manifestants du hirak, ndlr) des symboles révolutionnaires (le 1er Novembre, l’emblème national, «un seul héros, le peuple»,…) participe à cette volonté de renouer avec une histoire de combats et de résistances dont le but était la liberté, la justice et l’égalité». Quelle analyse faites-vous du rapport […]
L’article Karima Dirèche (*). historienne, directrice de recherche CNRS/Aix-Marseille Université : «Le hirak reprend à son compte les fondamentaux de l’histoire révolutionnaire algérienne» est apparu en premier sur El Watan.
Économie Algérienne : Le premier mandat de Tebboune sous la loupe de Nazim Sini