GUELMA- Les journées nationales de la poésie dialectale et classique « Okadhia » se sont ouvertes mardi à Guelma avec la participation de 70 poètes de plusieurs wilayas dont les premiers poèmes lus ont été un hymne à la glorieuse révolution de libération et ses artisans.
Organisée par la maison de la culture Abdelmadjid Chaféi, la manifestation de trois jours a rassemblé, en présence des autorités locales, des poètes de 25 wilayas venus chanter la patrie, la vie et la révolution du 1er novembre 1954 dont le pays célèbre dans quelques jours le 65ème anniversaire de son déclenchement.
Outre les récitals poétiques, des conférences seront animés par des universitaires d’Annaba, de Constantine, de Sétif et de M’sila sur la littérature de la révolution et la poésie révolutionnaire, la relation du poète à la patrie parallèlement à des expositions de photographies, de livres et sur le patrimoine matériel de la région, a indiqué à l’APS le directeur de la maison de la culture, Amar Aziz.
Le poète Amar Gharib de Naama a donné lecture lors de la séance d’ouverture d’un poème dédié à la patrie et à l’union nationale. La révolution, ses chouhada et ses héros ont été également le thème du poème du poète Salem Debache de la capitale des Ziban, Biskra.
Journées nationales de poésie «Okadhia» à Guelma Les épopées de la Révolution «chantées» en ouverture