Grand angle : Les jeux sont faits ?

Devant le risque d’un embrasement généralisé, qui pèse sur la Libye si les combats violents qui opposent depuis le 4 avril les forces loyales au Gouvernement d’union nationale (GNA), reconnu par la communauté internationale aux troupes du maréchal Khalifa Haftar aux portes de Tripoli, se poursuivent, l’Afrique se devait de faire entendre sa voix et interpeller les protagonistes libyens en leur rappelant leur responsabilité vis-à-vis de la population et la région.

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