Ghaza: 14 Palestiniens tombent en martyrs dans de nouveaux bombardements de l’entité sioniste

GHAZA – Au moins 14 Palestiniens sont tombés en martyrs dimanche, dans de nouveaux bombardements de l’aviation et de l’artillerie de l’entité sioniste à Ghaza, soumise à une agression continue depuis 177 jours, a rapporté l’agence de presse palestinienne (Wafa).

Onze Palestiniens sont tombés en martyrs et des dizaines d’autres ont été blessés lors d’un bombardement de l’occupant sioniste ayant visé un groupe de citoyens à Bani Souhaila, à l’est de Khan Younes, souligne Wafa qui cite des sources médicales.

Selon les mêmes sources, une femme et son enfant sont également tombés en martyrs dans un bombardement d’artillerie de l’occupant sioniste qui a pris pour cible une maison à Al-Mawasi, à l’ouest de Khan Younes.

Des sources locales ont, en outre, indiqué que de violentes explosions ont secoué des zones situées à l’ouest de la ville de Khan Younes, dans le sud de la bande de Ghaza, tandis que l’aviation sioniste a bombardé une tour résidentielle dans la ville d’Al-Assira, au nord-ouest d’Al-Nuseirat, au centre de l’enclave palestinienne.

Au centre de la bande de Ghaza, un homme âgé est tombé en martyr des suites de ses blessures après que les forces d’occupation ont bombardé sa maison près de Wadi Ghaza.

Par ailleurs, l’artillerie de l’occupation a ciblé des maisons à l’ouest de la ville de Ghaza, et les forces d’occupation ont également tiré des fumigènes à proximité du rond-point du Koweït, au sud du quartier d’Al-Zaytoun, à l’est de Ghaza.

Depuis le 7 octobre 2023, l’armée sioniste mène une agression sauvage contre l’enclave palestinienne qui a entraîné des destructions massives d’infrastructures en plus d’une catastrophe humanitaire sans précédent.

Le bilan de l’agression génocidaire sioniste contre la bande de Ghaza s’est alourdi samedi à 32.705 martyrs et 75.190 blessés depuis le 7 octobre dernier, a indiqué le ministère palestinien de la Santé.

Des milliers de Palestiniens sont portés disparus et se trouvent encore sous les décombres et sur les routes, tandis que les forces de l’occupation empêchent les ambulances et les équipes de la Protection civile de leur porter secours.

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