GECF: le Sommet d’Alger permettra au forum de s’imposer sur la scène internationale du gaz

GECF: le Sommet d’Alger permettra au forum de s’imposer sur la scène internationale du gaz

ALGER – Le 7ème sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement du Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) samedi à Alger permettra d’imposer cette organisation comme un acteur majeur sur la scène internationale du gaz, a estimé le directeur général de l’Agence gabonaise de presse (AGB), Ghislain Ruffin Etoughet Nzuet.

Dans une déclaration à l’APS, M. Etoughet Nzuet a affirmé que « le Forum des pays exportateurs du gaz est destiné à bâtir un partenariat durable dans le domaine du gaz et à renforcer la coopération intergouvernementale dans le secteur énergétique en mettant en commun les différentes expériences ».

« Forcément, ce 7ème sommet va permettre d’imposer le Forum des pays exportateurs de gaz comme un acteur majeur sur la scène internationale et particulièrement sur la scène de l’industrie gazière », a-t-il soutenu.

Dans ce contexte, il a relevé l’importance de cet évènement pour la presse gabonaise, précisant que « malgré le fait que son pays n’est pas membre du GECF, a décidé de mobiliser un envoyé spécial de l’agence de presse gabonaise pour suivre les travaux de ce sommet, considérant que les produits énergétiques sont des biens communs de l’humanité ».

Tout en exprimant sa satisfaction d’assister et de participer aux travaux de ce sommet aux côtés de la presse internationale, le DG de l’agence gabonaise a estimé que toutes les conditions sont réunies au sein du Centre international des conférences (CIC) où se déroule l’évènement, notamment au niveau de son centre de presse, pour exercer et rester en contact avec les rédactions nationales et pour pouvoir publier des articles sur cet évènement énergétique.

« Nous aimerions tellement que ce genre de conférences mette en exergue le besoin de formation. Il faut former de plus en plus des hommes de médias dans le secteur énergétique qui aujourd’hui est un secteur incontournable.

Il faudrait que nous ayons des hommes et des femmes capables d’écrire notre narratif pour que la voix des pays du Sud soit entendue dans ce concert des nations », a également préconisé le DG de l’AGB.

 

 

 

 

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