ALGER- Le président directeur général (P-dg) du Groupe Sonatrach, Rachid Hachichi, a affirmé que le prix décerné au Groupe, vendredi à Alger, par le Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) en marge des travaux de la réunion ministérielle extraordinaire préparatoire au Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement du GECF, se voulait une reconnaissance de son excellence et de sa performance.
Dans une déclaration à la presse, M. Hachichi a précisé que la remise du prix du mérite au Groupe Sonatrach par le GECF « se veut une reconnaissance de son excellence et de sa performance en tant que société intégrée de la source à la commercialisation à travers le transport des hydrocarbures, les raffineries et la liquéfaction », soulignant que le Groupe « a toujours été leader dans le monde dans plusieurs domaines notamment la liquéfaction ».
Il a rappelé que Sonatrach a produit la première cargaison du GNL algérien en 1964 et possède actuellement quatre complexes de liquéfaction de gaz naturel, ce qui permet de donner « une plus grande flexibilité » à la société pour transporter et exporter le gaz naturel par gazoducs ainsi que le GNL vers toute destination au moyen des navires du Groupe.
M. Hachichi a relevé que Sonatrach était pionnière aussi en matière de contrats de commercialisation de gaz naturel, rappelant dans ce contexte, que le Groupe était leader au niveau mondial dans la conclusion de contrats à long terme.
Il a affirmé par ailleurs que le Forum constituait un espace de concertation et d’échange d’expertises, relevant que les pays membres de cet « espace de consultation », représentent plus de 70% des réserves mondiales de gaz naturel, et que leur production s’élevait à plus de 40% de la production mondiale du gaz outre le fait qu’il regroupe les plus grands producteurs du monde.
Dans ce contexte, M. Hachichi a souligné la place de l’Algérie au Forum, dans lequel elle joue un rôle majeur et défend le gaz comme étant « la plus propre » énergie fossile, par rapport au pétrole et au charbon, relevant que l’utilisation de cette ressource énergétique continuera pour long temps, et qu’elle est l’un des moyens de transition sur le long terme jusqu’à 2050, où la demande augmenterait de 30% à 36%.
D’autre part, le PDG a affirmé lors d’une conférence de presse, que le groupe pétrolier « soutient et appuie » la stabilité des prix du gaz au niveau des marchés mondiaux, mettent en avant que cela donnera une opportunité, aux pays exportateurs de cette énergie, pour poursuivre l’investissement et la production pour répondre aux besoins nationaux et mondiaux en énergie.
A ce propos, M. Hachichi a mis en avant la place de l’Algérie au Forum, où elle joue un rôle majeur et plaidant pour l’utilisation du gaz, étant l’énergie fossile « la plus propre », par rapport au pétrole et au charbon, relevant que cette ressource énergétique sera pour longtemps. Il s’agit, poursuit-il, de l’un des moyens de transition sur le long terme (jusqu’à 2050), où la demande augmentera de 30% à 36%.
Par ailleurs, le PDG a affirmé lors d’une conférence de presse, que le groupe pétrolier « soutient et appuie » la stabilité des prix du gaz au niveau des marchés mondiaux, ce qui donnera une opportunité, aux pays exportateurs de cette énergie, de poursuivre l’investissement et la production pour satisfaire les besoins nationaux et mondiaux en énergie.
M. Hachichi a, en outre, souligné que le marché gazier international demeurait ouvert et obéissait à la loi de l’offre et la demande, expliquant qu’en dépit des mesures prises par certains Etats, notamment européens, en ce qui concerne la réduction de la consommation du gaz naturel et l’accélération de la transition énergétique, cette ressource énergétique occupe toujours une place importante sur le marché.
Pour ce qui est du mémorandum d’entente signé vendredi entre le Groupe Sonatrach et la compagnie pétrolière vénézuélienne (PDVSA) en marge des travaux du Sommet, le PDG a précisé qu’il s’agissait de deux documents, le premier porte sur la coopération en matière de formation permettant à l’Institut algérien du pétrole (IAP) d’organiser des formations dans les domaines de l’énergie notamment l’exploration, le forage, le transport et la commercialisation au profit de techniciens et d’ingénieurs du Venezuela.
Le deuxième mémorandum prévoit, quant à lui, la coopération et la coordination entre les équipes techniques conjointes pour parvenir à des opportunités mutuelles d’investissement au Venezuela et en Algérie, selon M. Hachichi.
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