Election de l’Algérie au Conseil de sécurité: partis politiques et organisations nationales saluent un grand acquis diplomatique

ALGER – Plusieurs partis politiques et organisations nationales ont salué, mercredi, l’élection de l’Algérie en tant que membre non permanent au Conseil de sécurité de l’ONU, qualifiant cette réalisation de « grand acquis diplomatique » qui se veut une reconnaissance de la part de la communauté internationale du rôle pivot de l’Algérie dans le renforcement de la paix dans le monde et des efforts du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune.

Dans ce cadre, le parti du Front de libération nationale (FLN) a salué cette grande réussite qui traduit, selon lui, « la reconnaissance du rôle pivot de l’Algérie sur les plans régional et international, et le respect et l’estime dont jouit le président de la République auprès de la communauté internationale ».

« L’élection de l’Algérie pour cette mission internationale, importante et vitale, n’est pas fortuite, elle est, plutôt, le résultat de la clairvoyance de la diplomatie étrangère de l’Algérie dans le cadre des engagements du président de la République et de sa forte volonté de cristalliser les objectifs de la diplomatie algérienne partant de ses valeurs et de ses principes constants », ajoute le parti.

« Grâce à cette réussite, l’Algérie poursuit la réalisation des victoires au niveau national et à l’étranger, et renforce sa position sur le plan international », a-t-il soutenu.

De son côté, le Rassemblement national démocratique (RND) s’est félicité de cette victoire diplomatique qui, dira-t-il, « profite à l’Afrique et au monde arabo-musulman en matière de défense des questions et des préoccupations de la région, en focalisant les efforts internationaux sur le renforcement de la coopération, la diffusion de la paix et de la sécurité, et la poursuite de la lutte contre le terrorisme ».

La même formation politique a appelé, à ce propos, l’ensemble des forces politiques et communautaires du pays à « s’unir autour des institutions de l’Etat et des orientations de leur politique étrangère, afin de préserver les acquis diplomatiques et faire entendre la voix de l’Algérie dans les fora internationaux ».

Pour sa part, le Mouvement El-Bina a estimé que cette importante réalisation « renforce le bilan diplomatique de l’Algérie et prépare le terrain à d’autres réussites au niveaux régional et international, à même de consacrer son droit de jouer des rôles plus importants sur le nouvel échiquier international ».Le Mouvement a salué le soutien qu’a eu l’Algérie de la part d’organisations et d’organismes de portée régionale et internationale, et de la part de plusieurs pays amis et frères, ce qui confirme, ajoute-t-on, « la crédibilité de l’Algérie et sa place parmi les nations », exprimant sa conviction que l’Algérie sera « un membre actif pour établir la paix et la sécurité internationales, et consacrer le principe de non-ingérence dans les affaires intérieures des pays ».

De son côté, le Mouvement de la Société pour la Paix (MSP), s’est félicité de cette réalisation qui « renforce la position de la diplomatie algérienne au niveau régional et international, et affirme son rôle dans le monde arabo-musulman et en Afrique ».

Le MSP a considéré l’élection de l’Algérie comme membre non permanent au Conseil de Sécurité pour un mandat de deux ans « une importante occasion pour la diplomatie algérienne de défendre les causes justes dans le monde, en tête desquelles la cause palestinienne et sahraoui, et continuer à œuvrer pour établir la paix et la sécurité ».

De son côté, le Mouvement Ennahda a « favorablement accueilli cet exploit historique qui met en avant la place de l’Algérie aux plans régional et international », considérant que cette élection s’inscrivait dans « la continuité de son rôle dans l’instauration de la paix et de la sécurité dans le monde et son soutien aux causes justes, notamment la fin de l’occupation de la Palestine et la décolonisation au Sahara Occidental ».

Dans le même contexte, l’Organisation nationale des enfants de chouhada (ONEC) a salué cet exploit considéré comme « preuve que l’Algérie a repris la place qui lui sied et témoigne de la  confiance dont elle jouit sur la scène internationale, grâce à la politique clairvoyante du président de la République ».

L’Association des journalistes d’Alger a salué ce succès qui vient « en reconnaissance du rôle positif de la diplomatie algérienne aux plans régional et international », relevant que « l’Algérie avec son bilan diplomatique historique, n’a ménagé aucun effort pour défendre le principe de  non-ingérence dans les affaires internes des pays et plaider en faveur des causes justes par la voie du dialogue et de la paix pour résoudre les crises et les conflits, sans oublier sa contribution internationale en tant que partenaire stratégique dans la lutte contre le terrorisme ».

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