DPGG : des sénateurs saluent la position de l’Algérie en faveur de la cause palestinienne

DPGG : des sénateurs saluent la position de l'Algérie en faveur de la cause palestinienne

ALGER – Des membres du Conseil de la nation ont salué, mardi à Alger, les positions immuables de l’Algérie envers les causes justes, notamment le droit du peuple palestinien à l’autodétermination, conformément aux déclarations du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, à maintes occasions.

Les membres du Conseil ont affirmé, dans leurs interventions, lors d’une séance plénière consacrée au débat de la Déclaration de politique générale du Gouvernement, présidée par le président du Conseil, M. Salah Goudjil, en présence du Premier ministre, M. Aïmene Benabderrahmane et des membres du Gouvernement, la solidarité de l’Algérie, peuple et Gouvernement, avec la cause palestinienne, condamnant « la politique de deux poids deux mesures qu’adopte la communauté internationale vis-à-vis des crimes de l’occupation sioniste contre le peuple palestinien ».

Dans ce cadre, le sénateur Achour Ilyes (RND), a salué « la constance des positions de l’Algérie et sa défense permanente des causes justes à l’instar de la cause du Sahara Occidental et la cause palestinienne, cause centrale », affirmant que les sénateurs « jouent un rôle important à travers la diplomatie parlementaire qui œuvre en parallèle avec la diplomatie officielle à la promotion et la défense de l’image de l’Algérie et de ses positions ».

Il a, également, salué « le retour en force de l’Algérie sur la scène internationale grâce à la stratégie diplomatique, conduite par le président de la République, basée sur les principes de défense des causes justes et de non-ingérence dans les affaires intérieures des pays », indiquant qu’une telle position n’a fait que « renforcer le statut de leader de l’Algérie dans sa région et promouvoir son rôle de médiation dans plusieurs questions ».


Lire aussi: Le Conseil de la nation entame le débat de la Déclaration de politique générale du gouvernement


Abondant dans le même sens, le sénateur du parti du FLN, Kamel Khelifati, a fait remarquer que « l’Algérie nouvelle est désormais une puissance régionale et a retrouvé sa place sur l’échiquier international, grâce à l’adoption par le président de la République, d’une politique étrangère proactive qui protège les intérêts du pays et promeut les principes de paix et de sécurité internationales ».

M. Khelifati s’est également félicité de « la position de l’Algérie, gouvernement et peuple, eu égard à sa constante position en soutien au peuple palestinien et à son droit d’établir un Etat indépendant ».

De son côté, le sénateur du tiers présidentiel, Ahmed Bouziane, a mis en relief le lien fort qui unit les peuples algérien et palestinien, en faisant allusion à Abou Mediene El Ghaouth, un legs qui relie l’Algérie au quartier des Maghrébins à El-Qods en Palestine occupée.

A l’occasion du 62e anniversaire des massacres du 17 octobre perpétrés par les autorités françaises contre les civils algériens, le moudjahid et membre du tiers présidentiel, Youcef Messar a rappelé le prix cher de la liberté et de l’indépendance face à l’avidité colonialiste.

Pour sa part, le sénateur El Mehdi Brahim (Tadjamoue Amal El Djazair) a souligné que l’histoire retient que ces massacres étaient l’un des innombrables crimes de la France commis durant 132 ans d’occupation.

Le membre du Conseil de la nation a dénoncé la violente agression sioniste contre la bande de Ghaza, la qualifiant de crime odieux n’épargnant personne. Il a appelé, dans ce sillage, les Etats à agir dans l’urgence à l’effet d’ouvrir des passages sécurisés pour les aides humanitaires.

Fustigeant de son côté le silence de la communauté internationale face aux agressions ciblant la bande de Ghaza, le président de la Commission des affaires étrangères à la Chambre haute du Parlement, Mohamed Amroun a affirmé qu’il était « hors de question de légitimer l’occupation ».

 

 

 

A lire également

Lire également