Commande publique L’entreprise nationale d’abord

Des créances impayées de quelques mois, des avenants non réglés depuis 4, voire 5 ans, des lenteurs administratives persistantes, une demande publique en baisse… autant d’accrocs sur lesquels s’appuie Mouloud Kheloufi, président de l’Association générale des entrepreneurs algériens, pour affirmer que «l’année 2019 sera des plus difficiles pour l’entreprise algérienne».

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