Baddari entame une série de rencontres avec les compétences scientifiques algériennes à l’étranger

Baddari entame une série de rencontres avec les compétences scientifiques algériennes à l'étranger

ALGER- Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari a entamé une série de rencontres avec les compétences scientifiques algériennes établies à l’étranger, et ce, en vue de bénéficier de leurs expériences dans l’édification de l’économie nationale, indique, jeudi, un communiqué du ministère.

Ces rencontres s’inscrivent dans le cadre de « la nouvelle stratégie mise en place par le ministère visant à associer les compétences dans les quatre coins du monde et bénéficier de leurs expériences en matière de formation, d’enseignement, et de recherche pour l’édification de l’économie nationale », selon la même source.

A ce propos, le ministre s’est entretenu, mercredi au siège du ministère, avec nombre de compétences qui se sont montrées intéressées par « la coopération et l’échange universitaire commun ».

M.Baddari a affirmé, par la même, que cette rencontre « intervient en droite ligne avec la volonté politique du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, notamment le 41e engagement de son programme présidentiel, visant à faire de l’Université algérienne un vivier de l’innovation et de la créativité, un partenaire pivot dans la prise de décision politico-économique, mais aussi une Université citoyenne à même de créer la richesse et le développement socioéconomique ».

Elle intervient, selon le ministre, au titre de « la nouvelle vision du secteur, basée sur la création de startup, d’incubateurs universitaires et la promotion de l’esprit entrepreneurial en milieu universitaire, et ce, via l’approche +un diplôme-une startup+, +un brevet-une invention+, outre la création de filiales à caractère économique, avec l’ouverture de bureaux d’études pour contribuer à l’édification d’une véritable économie de la connaissance à même de rivaliser sur les plans national et international ».

« Le secteur n’a eu de cesse d’œuvrer à s’ouvrir davantage sur son environnement socioéconomique », a-t-il précisé, soulignant que le secteur « nécessite les contributions des compétences algériennes à l’étranger et leur participation efficiente et opérationnelle, en vue d’accompagner et encadrer cet effort avec leurs capacités et expertises, en réalisant des projets et des programmes scientifiques communs de recherche et de formation ».

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