« C’est une malédiction !. 2020 est une année terrible pour nous tous ! » peste ce quinquagénaire, visage émacié, les yeux gonflés de colère et les bras ballants. Il fait des gestes en signe de révolte contre la malvie qui semble le pourchasser dans son antre populaire, son quartier non loin du centre de la capitale.
En ces temps caniculaires, l’Aïd pour lui est presque une punition de plus. Angoissé depuis des mois à l’idée d’attraper le satanique virus du Covid19, et affaibli par une journée de jeûne, (…)
Aïd Al-Adha 2024 : vers une nouvelle importation prévue ?