Note de lecture : Entendu dans le silence, d’Anys Mezzaour : Un espoir naissant

Certains critiques ont tendance à cantonner la littérature algérienne à ses grands classiques romanesques, pendant qu’un certain nombre d’entre eux seraient tout simplement fermés dans leurs œillères idéologiques pensant qu’il n’y a plus de lien entre les générations d’écrivains d’après-guerre et celles d’aujourd’hui.

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