Depuis la fermeture des liaisons aériennes et maritimes avec l’étranger afin d’endiguer la propagation de pandémie du nouveau coronavirus en Algérie, de nombreux Algériens en voyage dans des pays africains ne peuvent rentrer.
Dans l’attente d’une solution de rapatriement, c’est le sentiment d’abandon qui règne. « J’ai passé ces derniers mois dans un état de stress terrible », a confié ce samedi au Jeune Indépendant Mohamed Benfareh, 72ans, premier vice-président de la Confédération Africaine du Sambo. (…)
Frontière avec la Tunisie : le calvaire des vacanciers algériens