« Je compatis à la douleur de la famille, des militants du CNDD-FDD (le parti au pouvoir) et de tous les Burundais.
Il nous laisse un héritage qu’on n’oubliera jamais et nous allons poursuivre son oeuvre de grande qualité qu’il a réalisée pour notre pays, le Burundi », a écrit M.
Ndayishimiye dans un message en kirundi, la langue nationale, publié son compte Twitter.
Présenté comme son « héritier » par M. Nkurunziza, qui avait décidé de ne pas se représenter, le général Ndayishimiye, 52 ans, a remporté la présidentielle du 20 mai, avec 68,70% des voix.
Il doit théoriquement être investi en août pour un mandat de sept ans renouvelable une fois, à la fin du mandat de M. Nkurunziza.
Le président Nkurunziza, âgé de 55 ans et au pouvoir depuis 2005, est décédé lundi des suites d’un « arrêt cardiaque », a annoncé mardi la présidence burundaise dans un communiqué.
Économie de la santé au cœur des priorités de l’Institut Pasteur d’Algérie