Dans l’entretien accordé à El Watan, Louisa Dris-Aït Hamadouche évoque le rôle de l’armée et le «choix difficile» qui a poussé le chef d’état-major à sacrifier son alliance avec le groupe présidentiel. Elle affirme que si «la population continue de maintenir un lien fort avec l’institution militaire, elle rejette néanmoins l’idée d’un pouvoir politique géré par cette dernière». La politologue revient également sur la question cruciale de la représentativité du hirak et le rôle que doivent jouer les enseignants et les étudiants.
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