Le fond du problème est d’abord arabe

Quel crédit peut-on donner au secrétaire d’État américain, Antony Blinken, quand il dit de la guerre en Palestine, qu’«Il s’agit d’un conflit qui pourrait facilement se métastaser, causant encore plus d’insécurité et de souffrance»? Aucun. Surtout quand le même responsable américain nous informe que sa tournée dans la région a pour objectif de trouver une …

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