Les doutes sur la capacité de la Cédéao de restituer le pouvoir au président déchu Mohamed Bazoum s’accentuent. Des experts militaires pensent que le succès de l’intervention militaire prévue a besoin de trois facteurs, qui dépendent, d’une manière directe et/ou indirecte, de l’intervention d’un puissant Etat à l’image de la France ou d’un autre Etat occidental.Primo,le renseignement militaire: Tous les rapports sécuritaires disponibles confirment que les armées des Etats de la Cédéao ne disposent
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Crise au Niger : Statu quo